Tout le monde a un rêve, même si très peu osent les énoncer. Certains ont trouvé la force de le déclarer, comme M. L. King, d’autres encore de vivre à sa poursuite, comme Gandhi ou Mandela. Eh bien, j’ai aussi un rêve, et je suis prêt à le réaliser.

Je crois que les petites et moyennes entreprises sont le minerai de notre économie, elles sont inspirantes, elles apportent de la richesse, de l’innovation, des bouleversements, des exemples vertueux, de l’emploi, des opportunités de croissance et de nombreuses autres valeurs tangibles ou moins tangibles. Néanmoins, pour citer Blade Runner, ”  J’ai vu des choses que vous, humains, ne pourriez croire…”…

… des entreprises en échec malgré une augmentation de 50 % de leur chiffre d’affaires sous contrat… … des entrepreneurs héroïques envisageant le suicide… … la honteuse solitude des difficultés… … le succès nourrissant les ego et l’ego plomber les entreprises… … des preneurs de risques construisant des entreprises frileuses et, par conséquent, condamnées à disparaître…

50,8 % des entreprises ne survivent pas à leur cinquième année, 27 % ne survivent pas à leur deuxième année. Que diriez-vous de la sélection naturelle ? De mauvaises idées ? En Suisse, plus de 15 000 entreprises entament une procédure de faillite chaque année, c’est effrayant, n’est-ce pas ?

En effet, nous pouvons accepter l’idée de la sélection naturelle, mais quelle est la “nature où vivent les entreprises” ? Le marché est notre nature, tandis que la formation, l’apprentissage, les opportunités et les leviers changeront notre condition physique et notre taux de réussite.

Il y a beaucoup de “mauvais” dans une entreprise en échec, mais rarement l’échec est dû à l’idée, la cause est souvent un mélange d’erreurs peu importantes mais subtilement imbriquées et répétées.

J’ai un rêve, je veux augmenter de manière significative le nombre d’entreprises prospères, réduire de manière significative le pourcentage d’échecs, je rêve d’augmenter les valeurs que les PME apportent à notre société locale.

Facile à dire qu’à faire ? Oui, eh bien, sinon ce ne serait pas un rêve, pour paraphraser Grayson Marshall, “si les gens ne rient pas de mon rêve… je ne rêve pas assez grand !

J’espère que vous avez ri, car je lance la révolution, je crois fermement que c’est réalisable et que le voyage sera l’un des plus stimulants, intéressants et gratifiants de ma vie. Comme tout grand ou petit voyage, il commence par un petit pas, et comme l’un de mes repas gargantuesques, il commence par une grande portion dans l’assiette. En réfléchissant à la manière de résoudre le problème, j’ai pensé que la meilleure solution serait de créer un club de remise en forme pour les entreprises… Club de Remise en Forme des Entreprises… Club Exécu-Fit. Pourquoi ? C’est plutôt simple dans le concept. Les petites et moyennes entreprises ont besoin de se réunir, de se former et de collaborer ensemble, la force inégalée réside dans la connaissance et dans les chiffres.

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